2024
RÉSIDENCE JEUNE
CAROLINE ANDRIVON
Jeune photographie documentaire et transition écologique # 2024
Cette résidence est destinée à accueillir un.e photographe de moins de 36 ans, afin de lui donner la possibilité de travailler son écriture documentaire sur la thématique de la transition écologique sur le territoire du Parc National des Cévennes en collaboration avec les habitants du territoire.
Fin 2024 nous avons accueilli la jeune photographe Caroline Andrivon, qui vit et travaille près de Toulouse en Occitanie.
Pour cette première résidence, nous avons sollicité la Ressourcerie du Pont au Vigan, un lieu de sensibilisation, de collecte, de valorisation et de redistribution solidaire, dont les piliers sont d’agir pour l’environnement, de développer une économie solidaire et de coopérer dans la transparence.
Caroline Andrivon s’est immergée dans le quotidien des salariés et des bénévoles de la Ressourcerie pour co-construire son projet photographique.
Afin de contribuer à la professionnalisation de sa pratique, elle a bénéficié d’un mentorat de la part du résident ImageSingulières Cédric Gerbehaye et d’un accompagnement logistique et professionnel de la part d’ImageSingulières et de ses partenaires.
Elle a également mené un atelier sténopé avec développement aux plantes pour ne pas utiliser de chimie.
Son travail de résidence sera restitué sous la forme d’une projection qui sera présentée lors d’une rencontre avec les co-constructeurs du projet.
LA PHOTOGRAPHE > CAROLINE ANDRIVON
Issue d’une première formation sur la gestion de territoire, complétée par une licence en médiation sociale, le travail photographique de Caroline Andrivon se porte sur des questions traitant de la place de chacun au sein de la société et/ou du collectif, le « vivre ensemble ».
Elle met en lumière des sujets marginalisés s’appuyant sur la rencontre, l’échange, et l’envie de construire avec l’autre pour aboutir au sujet photographique le plus juste. De manière simple et en tentant de démocratiser à son échelle une vision artistique personnelle et sensible partagée avec le spectateur par une poésie affirmée, l’idée de co-créer, de transmettre confirme la finalité de son travail.
